2025/02/03
Compte rendu du poihl du 03/02/2025
Liens utiles:
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Ateliers du jour:
Plantages:
Des corrections passées avaient fait passer le nombre de plantages non reproductibles de 7 par 150 and (30 simulations de 5 ans) à 1.
Ionela a depuis identifié deux routines susceptibles d'expliquer ces plantages dont celle du calcul de la hauteur de la tropoause qui crée des dépassements de tableaux (identifiés en debug).
Ionela a codé une rustine consistant à prendre 1 si oin tombe sur un indices négatif ou nul.
Avec le changement de ces deux routines, la simulations qui passait est passée.
Mais pour confirmer qu'on n'a plus de plantages aléatoires, il faudrait sans doute de l'ordre d'un millier d'années de simulations.
Du coup discussion pour changer de stratégie.
- Première proposition de travail :
Aller au bout de l'hypothèse selon laquelle c'est le dépassement de tableau du calcul de la hauteur de la tropopause qui conduirait aux plantages non reproductibles.
Un tel bug va se reproduire lui de façon reproductible.
Mais au moment où le dépassement de tableau se produit, on peut facilement imaginer qu'il aille écraser des choses en mémoire de facon aléatoire.
Donc la proposition est de dé-commenter la correction et de sortir à la place un print des cas où on a des indices négatifs ou nul.
Déjà en partant de la seule simulation qui a planté de façon non reproductible avant de mettre la rustine.
A partir de là : regarder (si l'information est encore disponible) si le plantage semble effectivement correspondre à un moment et un lieu où on a un dépassement.
Si c'est le cas, on pourra lancer spécifiquement un ensemble de simulations à cet instant pour voir si on retrouve effectvement des plantages non reproductibles.
- Arnaud a :
- laissé tourné le couplé lon-lat pour voir si la banquise estivale revenait. Finalement non, même si il y en a un tout petit peu plus que dans la version ico.
- lancé simulations des simulations avec un état initial avec nettement plus de banquise (3m comme dans les versions précédentes). Le volume de banquise hivernale diminue très rapidement, à peu près pareil entre les 3 premières années avec ico et lonlat, mais on garde nettement plus de glace avec lonlat. Pour ico, les banquises à la fois hivernale et estivale semble converger vers une valeur commune quelque soit l'état initial.
- lancé des simulations forcées avec deux versions d'orchidee, dynamique lonlat ou ico, et deux façons de cacluler le les paramètres entrant dans les paramétrisations d'orographie sous maille (méthode LMDZlon-lat dans dynamico, ou filtrage). A la fois le calcul du relief sous maille par défaut dans dynamico, et orchideev4, créent ou amplifient un biais hivernal trsè fort de température dans les hautes latitudes de l'hémisphère nord, particulièrement sur la Sibérie. - Laurent a :
- lancé une série de couplé avec différentes versions de l'atmosphère mais elles ont toutes plantées rapidement. - Priorités :
- Arnaud sort un multi monitoring ico/lonlat avec les deux états initiaux (4 simulations) pour notamment se convaincre (ou pas mais ça semble plutôt être le cas) que la banquise n'est plus trop sensible à son état initial après une petite dizaine d'années.
- Laurent voit avec Arnaud pourquoi il plante même quand il essaie de retrouver ses résultats.
- Frédéric est prêt à lancer du tuning sur les paramètres libres de l'orographie sous maille une fois que LMDZico s'installe automatiquement avec LMDZ_setup.sh sur adastra (tbd)
- Etienne suite à la réunion se propose de rediscuter avec les personnes concernées de ses doutes sur le nouveau calcul des paramètres de cette orgographie sous maille.